Site officiel de"Vallée de la Cisse" : étudier de manière pluridisciplinaire les questions culturelles et diffuser les résultats des recherches par divers moyens sur nos 18 communes fédérées de la Vallée
Notre A.G. a eu lieu comme annoncée le vendredi au soir en la salle des fêtes de Marolles. Nous étions la moitié (53% exactement) de l’effectif global de nos membres de droit et membres actifs.
Pour les maires des 18 communes fédérées, la personne du (ou de la) maire ou son représentant, la feuille d’émargement révèle la présence de 6 communes. Calcul facile : 33,33% ! Pour les délégués communaux des comités des fêtes et associations locales, près des deux tiers (65%) : une sorte de rééquilibrage, ou plutôt la confiance que les élus municipaux ont dans les organisateurs bénévoles à qui ils confient l’animation de leur commune respective.
Pas de quorum contraignant dans les statuts, mais la traditionnelle majorité absolue était atteinte ! De quoi s’en réjouir par ces temps d’abstentions électorales ! Quant au tiers renouvelable, si tous les sièges n’ont pas donné une assise renouvelée, deux d’entre eux dépendent d’un retour de vacances (au ski sans doute ?).
Passons sur le rapport des activités en images dont l’ordre chronologique n’a pas toujours été respecté, le rapport dont les comptes étaient « bons et vérifiés », l’essentiel était que le rapport moral donne le moral pour une nouvelle année d’exercice. Le tout a été adopté à la quasi-unanimité des votants : 4 ou 8% d’abstentions !
N’oublions pas que cette année justement, est celle de la publication de la 24ème édition de notre revue culturelle. L’énoncé des sujets variés à paraître cette année le 5 mai à Coulanges, lors de la « Marguerite », randonnée-découverte de l’Ascension, est un encouragement pour les auteurs : une dizaine dont trois présents (30%).
Par contre, leurs articles historiques servent essentiellement 7 communes. Faudra-t-il attendre deux ans pour satisfaire l’ensemble de la communauté des lecteurs ?
Ce soir-là, nous recevions une nouvelle proposition… N’avons-nous pas raison de faire aussi confiance ?
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